Une nouvelle façon d'aborder l'astrologie
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Un scientifique devenu astrologue

L'Astrologie : le témoignage d'un scientifique

Un dossier périlleux pour dire quelques vérités qui viennent de l'expérience vécue, cela représentait un défi à la fois risqué et intéressant pour l'auteur de ce site. Mais sans risque, où est l'adrénaline ? Or le plaisir de tenter de parler de ce domaine en amont de l'astrologie et non pas seulement de son fonctionnement est bien réel pour quelqu'un qui a passé beaucoup de temps à utiliser ces techniques.

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Nous l'avons donc fait pour les visiteurs d'Astrotheme, en essayant de parler de tout cela avec les mots de tous les jours, sans jargon technique, sans description historique et argumentation difficile ou trop pointue, avec seulement l'idée de toucher le plus grand nombre, sans vouloir autant faire du prosélytisme : juste quelques jugements qui viennent de l'expérience, une vision de bon sens sur cet outil de connaissance qu'est l'astrologie.

Pour illustrer ce dossier non technique, des images astronomiques se sont vite imposées. Le spectacle hallucinant de certaines galaxies ou nébuleuses est non seulement magnifique mais permet d'ouvrir son esprit vers plus de conscience, vers un sentiment d'exister plus intense.

Pour l'anecdote, ce dossier a été fait en 2002 et en un peu plus de deux heures, sans préparation, et sans plan : je tenais absolument, pour ce sujet, pour une raison qui relève sans doute dans mon inconscient du désir de pureté et de spontanéité absolues, à exprimer une sorte d'avis "brut de fonderie", un témoignage qui vient des tripes; le fait de taper du texte au kilomètre se voit, et pour son auteur c'est un exercice agréable, car l'authenticité a toujours un éclat unique. Pour le lecteur, c'est aussi un gage de sincérité qui se ressent.

Bien sûr, il ne s'agit même pas de convaincre : que ce soit en politique ou en spiritualité, changer de cap est toujours loin d'être une mince affaire. Pour ce domaine un peu bizarre qu'est l'astrologie, des comportements irrationnels se lèvent rapidement, en général avec le petit sourire supérieur de ceux qui, évidemment, ont dépassé cette propension naïve à croire n'importe quoi, à rêver béatement, à s'illusionner sur un fonctionnement forcément débile car offrant des possibilités qui sortent des sentiers habituels des résultats obtenus par les autres disciplines humaines.

La liste des propriétaires de sourires méprisants à l'égard de l'astrologie est assez longue, comme l'est aussi la liste des gens plus ouverts qui, soit, ont essayé eux-mêmes d'étudier cet outil qu'est l'astrologie - qui n'est pas plus une science que la psychologie ou l'histoire - et se sont convaincus de son fonctionnement ou d'une certaine efficacité en tout cas, soit, par manque de temps ou d'intérêt, laissent la porte ouverte en se disant « finalement pourquoi pas ? », après tout, on ne sait pas grand chose, ne serait-ce que sur le plan du jaillissement de la pensée - QUI dirige la pensée au moment où elle naît ? - ou sur les lois physiques, pour lesquelles le 21e siècle n'est qu'une préhistoire, comme tous les scientifiques le savent : la vie est évolution, les connaissances ne sont pas statiques et la seule erreur à ne pas commettre, c'est de se gorger de certitudes, y compris celle qui consiste à associer résultats « trop beaux » à impossibilité scientifique absolue.

Paradoxalement, relativement peu d'astrologues s'intéressent à l'astronomie. Ce n'est pas mon cas, je voulais même être astronome quand j'étais petit, et il m'est impossible de ne pas avoir un téléscope à la maison, même si je m'en sers peu, le ciel de la région parisienne étant trop pollué malheureusement.

Mon expérience a été celle de tout le monde je crois, c'est-à-dire celle de quelqu'un qui a priori, avant de la découvrir, était « contre » et considérait que l'astrologie, c'était de la foutaise pour vendre à des naïfs, ou au mieux, une douce rêverie un peu poétique à l'intérieur de laquelle toute l'énergie mentale dépensée dans ce domaine ne servait finalement qu'à créer un monde virtuel plaisant pour susciter du plaisir.

Le hasard a voulu que dans cette librairie sympathique où j'allais plusieurs fois par semaine pour m'alimenter en livres variés au gré de ma curiosité plutôt forte et de mon attirance pour la compréhension des choses cachées, je trouve un traité d'astrologie, le fameux traité pratique d'André Barbault.

Un peu amusé d'y voir en parcourant les pages rapidement avant de l'acheter des thèmes de personnages historiques, des règles assez rigoureuses, un fonctionnement qui paraissait assez costaud et solide, je me suis dit, il faut quand même que je lise une fois un livre d'astrologie, celui-là n'a pas l'air trop naïf au moins.

En plus, il y avait quelques recettes concernant les compatibilités de couple et comme j'étais amoureux de ma voisine de pupitre, dans cette classe de Terminale C, je me suis dit, bon, je vais m'amuser à voir si d'après l'astrologie, la compatibilité entre cette belle brune et moi est forte ou non !

L'impression étrange et unique d'infini qui se dégage du ciel quand on le regarde est une des nombreuses méthodes efficaces pour commencer une méditation sur le sens de sa propre vie.

Sans y croire et avec un a priori plutôt très négatif il faut le dire, j'ai commencé à apprendre à dresser un thème astrologique natal, à l'interpréter, à m'initier à toutes ces techniques des prévisions, synastries et autres délices ayant le charme de l'inconnu.

Comme il ne s'agit pas d'un livre ici, il faut aller vite au but : en fait, j'ai vite vu qu'entre les notions de signes, maisons, planètes, maisons en signes, planètes en signes, planètes en maisons, maîtrises, aspects, nature des planètes, dominantes etc. il était nécessaire de passer un certain temps avant de se faire plaisir et de s'aventurer dans la poudreuse tout seul, d'interpréter des thèmes sans ouvrir des pages de livres d'astrologie toutes les minutes.

En effet, le premier obstacle à mon avis pour quelqu'un qui voudrait se faire une idée de l'astrologie, c'est le contraste immense entre d'une part, la presse habituelle avec ses horoscopes par signes ou par décans, qui ne vaut rien, il faut le dire, et l'astrologie authentique qui va consister à extraire des informations d'un thème natal exact qui nécessite une date et un lieu de naissance, et si possible une heure de naissance, et à en déduire des résultats pertinents.

L'impression d'infini du temps et la recherche des causes de chaque chose provoquent un vertige, qui suscite un besoin comprendre à quoi rime tout cela : un début de recherche spirituelle.

Car autant l'astrologie commerciale et les horoscopes de la presse sont une véritable tromperie, autant l'astrologie authentique, qui a plusieurs écoles et qui s'apprend en plusieurs années, est difficile d'accès.

Il faut du temps, car sans intégrer « par cœur » pas mal de dizaines de notions élémentaires, il est très difficile de s'y retrouver. Bien sûr, on peut s'amuser, mais si l'on veut une certaine efficacité ou simplement être capable de suivre les règles de cet outil, il faut y passer plusieurs mois et bien plus.

Je passerai rapidement sur d'autres obstacles qui viennent des argumentations pseudo-scientifiques de base qui peuvent faire douter un curieux de l'astrologie et le dégoûter avant même qu'il n'y passe un peu de temps, comme celle qui consiste à dire : l'astrologie, c'est de la foutaise, puisque tout le monde sait qu'avec la précession des équinoxes, lorsque l'on dit que le Soleil se trouve dans le Bélier, en fait, il ne se trouve pas du tout dans cette constellation depuis longtemps. C'est évidemment idiot, puisque l'astrologie moderne, tropicale, ne traite pas, par définition, avec les signes comme étant les représentants des constellations du même nom, mais avec un référencement immuable qui est celui des saisons : le Bélier est le signe qui correspond à l'équinoxe du printemps dans l'hémisphère nord et non pas à la fenêtre d'espace qui correspond à la constellation du Bélier.

Mais n'allons pas trop loin dans ces détails techniques, ce n'est pas l'objet de ce dossier, qui est simplement de livrer un témoignage, de dire que l'astrologie fonctionne, au regard d'une expérience vécue de plusieurs dizaines d'années.

L'astrologie n'est qu'un ensemble de techniques efficaces pour ceux qui la pratiquent et pour ceux qui consultent. Mais même si astrologie et spiritualité sont disjointes, les questions relatives à l'être humain que la première engendre forcément indirectement créent un pont vers la recherche de la réalité.

Au bout de quelques semaines, l'astrologie devenait plus claire pour moi : en fait, je comprenais qu'il existait finalement trois fonctions essentielles, avec une quatrième en joker si l'on peut dire : l'astrologie qui consiste à analyser la personnalité de quelqu'un, son caractère, ses motivations, sa typologie, son comportement, ensuite une seconde astrologie bien connue, qui consiste à prévoir - ou analyser le passé (pour vérification) et le présent - en superposant les localisations des planètes de la période qu'on analyse à celles d'un thème astral de naissance, tout cela avec diverses techniques - transits, révolutions solaires, progressions etc. - et enfin une dernière astrologie, celle des comparaisons de thèmes pour comprendre une relation entre deux individus qui peuvent être plus ou moins compatibles sur tel plan.

Ces trois astrologies ou plutôt ces trois fonctions de l'astrologie, le portrait, les prévisions et les compatibilités, sont les trois volets essentiels de cette discipline, le quatrième - la fonction que j'appelais « joker » plus haut - étant l'astrologie dite mondiale, celle qui consiste à prévoir ou expliquer certains évènements mondiaux : les guerres et paix entre pays, les périodes de croissance ou favorables sur le plan de telle évolution - scientifique, humaniste, religion, spiritualité etc. -, les attentats, les cataclysmes naturels, les inventions etc.

Pour ces quatre volets, il est clair que la prédisposition des gens à « croire » ou pas n'est pas la même : beaucoup de gens ne font pas de difficulté à reconnaître que quand même, lorsque l'on fait un portrait astrologique de quelqu'un il y a des choses troublantes car si justes - je passe évidemment sur les cas qui fonctionnent bien, c'est-à-dire la plupart, ou pour les cas des gens de bonne foi, la majorité, et je ne prends que le cas des sceptiques.

A moins d'être particulièrement sensible et vulnérable, mieux se connaître, avoir une idée de la météo est une aide pour évoluer plus vite.

Pour les prévisions, c'est plus délicat : les récalcitrants sont en général plus nombreux, il existe même certains astrologues qui veulent absolument cantonner l'astrologie aux fonctions d'analyse de portraits ou personnalités et ne rien entendre d'autre.

Pour les compatibilités de couple encore appelées synastries, le domaine est moins connu et plutôt mieux admis, puisque si l'on accepte le fait que l'astrologie puisse faire une analyse de personnalité, pourquoi ne serait-elle pas dans ce cas capable d'en faire deux, et de voir si ces deux-là vont bien ensemble ou non ?

Enfin, pour la prévision mondiale, c'est le plus difficile. Il faut bien avouer que prévoir les évènements mondiaux par l'astrologie relève du défi presque impossible. Certains faits sont troublants, mais je dirais juste qu'à mon sens, ce domaine relève de la recherche et il est important de ne pas croire ce qu'on lit ici ou là. Ceux qui disent des âneries sont bien plus nombreux que ceux qui prévoient vraiment. Est-ce que cela signifie que l'astrologie mondiale ne fonctionne pas ? Non pas forcément, mais il y a encore beaucoup de chemin à faire pour l'utiliser, pour notre époque, c'est sans doute trop tôt, du moins c'est mon opinion avec tant d'années de recul.

Revenons donc à cet apprentissage de l'astrologie : quand on a dépassé ces deux obstacles, c'est-à-dire la virulence de la masse ignorante et de son jugement acide et que l'on a accepté qu'il fallait passer de longs mois à maîtriser et intégrer ses notions et ses règles - en fait ce ne sont pas quelques mois : je pense qu'au bout d'un an de lecture et de pratique, on a une bonne idée, au bout de 5 ans, on peut déjà faire quelques interprétations, au bout de 15 ans, on a des bonnes bases, et au bout de 30 ans, on apprend encore mais on a quelques bons réflexes qui permettent d'éviter de se tromper - c'est après cette période que l'étonnement commence.

Certaines personnes ont compris que l'astrologie fonctionnait bien, mais préfèrent éviter les prévisions.

Je rassure ceux qui commencent à étudier : en fait, en quelques jours, on peut déjà être troublé en faisant soi-même des thèmes des gens que l'on connaît. Mais une fois toutes ces notions intégrées, le plaisir arrive rapidement et avec lui, son lot d'étonnements.

L'étonnement commence pour les portraits. La difficulté est la hiérarchisation des valeurs, et aussi l'élimination du superflu : le débutant a tendance à regarder une tonne de détails et à se perdre dans un ensemble de significations trop chargées. Mais une fois cette difficulté vaincue, il est vrai que le sceptique en général, s'il a payé comme tribut ce temps à passer à apprendre, perd son incrédulité et son sourire satisfait de celui à qui on ne la fait pas.

C'est ce qui m'est arrivé au bout de ces quelques mois. Ensuite, si l'on ne veut pas s'arrêter en si bon chemin, on achète des livres et on apprend. L'astrologie est un outil, ce n'est pas une religion ou quelque chose d'important à mon sens. C'est un peu une discipline comme une autre, comme l'histoire ou la psychologie. Bien sûr, elle apporte davantage, et quelque part, elle fait se poser des questions en amont : c'est ce qui fait son charme, même si en aucun cas, elle n'y répond, à ces questions en amont.

L'astrologie est tout sauf un chemin spirituel, une religion ou même une morale : elle est juste un outil qui sert à mieux comprendre notre personnalité, notre compatibilité avec les gens, et, avec prudence, à prévoir les climats, la météo de notre devenir ou plutôt de notre ressenti.

Mon expérience a donc été au début de constater que cela fonctionnait : comme tout le monde, on commence à faire le thème de tous ses proches, ensuite, on regarde les compatibilités, et surtout, on joue à l'apprenti sorcier en analysant l'avenir, après avoir analysé le passé : c'est la meilleure méthode, comprendre le passé au regard des transits ou autres techniques pour vérifier les règles.

Pour ce dernier point, mon avis est simple : les prévisions fonctionnent bien, sous deux conditions essentielles, totalement incontournables :

Cela fait penser à la belle fable philosophique de Samarcande : un Vizir marche dans la ville pour aller au Palais du Sultan, pour son job. En marchant, il voit une femme en noir inquiétante dont la seule vision lui glace le sang. Elle se rapproche et sa pâleur, son regard et son expression lui font comprendre qu'il s'agit de la Mort. Terrorisé, il imagine qu'elle vient pour lui... suite plus bas

La première est que lorsque vous analysez une période, beaucoup d'interactions ou influences se voient. Mais toutes ne sont pas égales en importance, loin de là. Ce qu'il faut ne pas hésiter à dire, c'est que les évènements « forts » se voient, même si la forme qu'ils prendront ne sera pas toujours celle que l'on croit exactement, mais la tendance en général pourra être décrite, du moins si celui ou celle qui interprète possède suffisamment d'expérience.

Pour les évènements mineurs ou « moyens », il faut être prudent. Il y a une « dispersion » des résultats, comme si certaines personnes étaient plus ou moins sensibles à certains transits etc. L'essentiel - et tout est là pour ne pas jeter l'astrologie aux orties - c'est que pour les jeux de force très importants, les effets sont pratiquement toujours visibles. Je l'ai constaté sur des milliers de cas, et à chaque fois, c'est hallucinant, cela échappe totalement à une vision au hasard de la période. Il faut vivre cela pour le constater : c'est le nombre de faits troublants, totalement incompatibles avec le hasard, qui fait que l'on sait qu'on ne perd pas son temps dans cette discipline. Si l'on garde l'humilité d'accepter que pour les évènements ou jeux de force moins importants, le doute existe, qu'il ne s'agit que de probabilité, de climat plus ou moins favorable sur tel ou tel point, on reste alors dans le vrai.

Est-ce que cela signifie que l'astrologie est déterministe, fataliste ? Non, évidemment. Tout ce passe comme s'il existait une « tendance », une structure plus ou moins imposée, mais partiellement. Le libre-arbitre permet semble-t-il, comme le dit l'adage célèbre « les astres inclinent mais ne déterminent pas », de réagir différemment aux climats planétaires que l'on subit. Beaucoup de questions se greffent sur ce sujet évidemment, mais le but de ces quelques lignes est de faire part de mon expérience pratique, simplement, sans commencer à donner une explication structurée à chaque notion soulevée, ce qui nécessiterait quelques livres.

Terrorisé donc, il se met à courir comme un fou vers le palais, et haletant, il arrive chez son boss, le Sultan. Que t'arrive-t-il donc mon ami ? dit le Sultan. Seigneur, j'ai vu la Mort ! Elle venait me chercher j'en suis sûr. Je ne veux pas mourir je suis trop jeune, j'ai une famille. Permettez-moi de prendre une dizaine de jours de vacances, de partir très loin, je ne veux pas qu'elle me trouve, je ne veux pas mourir ! Pas de problème lui répond le Sultan, généreux et sympathique. Tu as toujours été fidèle et sérieux. Pars à Samarcande, cela te changera les idées, c'est une ville si belle.

L'autre condition nécessaire, incontournable et bien souvent oubliée cependant par beaucoup de praticiens, est que notre destin ne se déroule que conformément à ce que l'on est, et donc à ce qui est décrit par le thème natal, thème natal qui évolue je le précise ; l'astrologie intègre évidemment cette notion d'évolution, il n'y a pas de staticité, de conditionnement irréversible et fataliste : un thème natal est mobile, l'être humain va s'épanouir en fonction de caractéristiques de base, avec un certain libre-arbitre assurément.

Ce qui veut dire en français que le thème astral de naissance est fondamental : les techniques de prévisions utilisent deux thèmes : le thème natal, qui représente notre personnalité, notre moi terrestre avec ses caractéristiques habituelles : affectivité, intellect, capacités d'action, capacités relationnelle, vitalité, sexualité, comportement, facettes psychologiques, blocages etc.

En superposant le thème - ou positions des planètes - de la période à analyser au thème natal, on aperçoit des jeux de forces, hiérarchisées et cataloguées, qui ont à la fois une signification intrinsèque, mais qui en même temps dépendent en grande partie du thème natal : on parle souvent de « résonances » avec le natal.

Pour prendre un cas concret en matière de prévisions par transits par exemple, une des règles de bases dans les prévisions consiste à bien intégrer que des jeux de forces en transits ne prendront toute leur ampleur que s'ils sont déjà présents dans le natal. Prenons le cas difficile d'un transit en carré d'Uranus mondial à Mars natal, ce Mars natal étant en maison 2, en Bélier, et Uranus en maison 11 en Capricorne. Ce transit explosif - car ces deux planètes sont les plus énergiques et un carré entre les deux provoque à un moment un éclatement en terme de comportements ou d'évènements, comme un équilibre trop difficile à tenir par la personne et devant brutalement exploser parce que sans correspondance avec la nature de son propriétaire - indique qu'il existe une probabilité que le domaine financier, la façon de gagner sa vie etc. subisse une secousse très importante et inattendue au moment du transit exact d'Uranus à Mars ou pendant les différents passages de ses rétrogradations en carré du Mars natal, cette secousse pouvant être due à la sphère amicale. Il faudrait évidemment prendre en compte le jeu des maîtrises et là il existe deux cas : soit Uranus et Mars, dans le natal, sont en correspondance l'un de l'autre, auquel cas ce transit mondial va faire résonner le thème natal et il est probable que les évènements ou du moins la façon de ressentir ces évènements par le sujet seront très importants, soit Uranus et Mars ne sont pas reliés dans le natal, auquel cas il est clair que ses effets seront, bien que brutaux, d'une ampleur quand même inférieure au premier cas.

Et le Vizir de partir sur-le-champ, et avec quelques serviteurs, une dizaine de chameaux, il se met à galoper pendant 4 jours et 4 nuits vers la ville mythique de Samarcande, fuyant la femme en noir, évitant le destin funeste qu'il pense être le sien. Au bout de 4 jours, il arrive enfin à Samarcande, ville splendide, lumière extraordinaire. Il va vite prendre un bain et se changer et sans se reposer, ressort pour aller boire un thé à la menthe et visiter la ville.

Rien ne peut arriver qui ne soit ancré dans le thème natal. Le destin se déroule comme un tapis un peu programmé - le libre-arbitre se situe dans le « un peu » - et l'erreur à ne pas commettre est d'accorder trop d'importance à des aspects qui semblent très importants mais qui ne correspondent pas trop à la structure du natal.

De la même façon, un Saturnien - quelqu'un qui aurait Saturne comme forte dominante planétaire - austère, sage et parfois un peu solitaire qui va avoir un transit de Jupiter sur sa Vénus ne va pas devenir Julio Iglésias ou Rocco Siffredi pendant les quelques semaines de ce transit fort agréable.

A ces deux conditions, une certaine analogie avec le thème natal, et la prudence pour les jeux de force qui ne sont pas extrêmement puissants, l'astrologie ne déçoit jamais ou presque en matière de prévisions.

Pour les compatibilités de couples, le sujet obéit en partie à ce genre de règles très importantes : ce n'est pas parce qu'une synastrie est extraordinaire que d'une part, on peut tomber amoureux, et que d'autre part, la relation peut être réussie. Je m'explique :

Quand on analyse un thème de couple, on analyse en fait trois thèmes : le thème natal des deux partenaires, et le thème de la relation, que l'on analyse par comparaison des deux thèmes et différentes techniques possibles (thème composite, thème mi-espace / mi-temps, interactions planètes-maisons réciproques etc.). En plus, évidemment, il faut tenir compte du climat planétaire de chacun des partenaires : ce n'est pas simple.

Les idées qu'il faut retenir sont les suivantes pour les compatibilités de couple en astrologie :

D'abord, une compatibilité fantastique entre deux personnes n'implique jamais qu'elles tombent amoureuses l'une de l'autre : une synastrie reflète seulement la facilité de la relation, sur différents plans.

Et réciproquement, une synastrie catastrophique ne veut pas dire que les deux personnes ne vont pas tomber amoureuses l'une de l'autre.

Le soleil illumine les ruelles pittoresques de la ville, les femmes sont belles, les ombres qui s'allongent à cette heure tardive de l'après-midi ajoutent encore au charme de cette ville mythique, et le Vizir marche, serein, presque ivre de la satisfaction d'avoir échappé à son destin. Tout en marchant, il regarde de côté, ne prend pas garde et bouscule quelqu'un ! Aussitôt, il se retourne et à sa stupéfaction.

Ceci étant dit, et c'est capital car bon nombre de visiteurs s'interrogent et nous interrogent quelquefois en nous envoyant des emails : mais, j'ai rencontré untel, je l'aimais, nous avions 80% de compatibilité et il ne s'est rien passé, la relation n'a pas été consommée etc. C'est normal ! L'astrologie, du moins la synastrie, est incapable de déterminer si les deux personnes vont s'aimer ou pas. L'amour échappe à la comparaison des thèmes !

Encore une fois, la synastrie va dire, dans la mesure où la relation a commencé seulement, si elle sera facile ou non à vivre : c'est déjà beaucoup à mon sens.

Maintenant, comme pour les prévisions, il va falloir tenir compte des thèmes natals. C'est assez simple à comprendre : si quelqu'un a dans son natal une structure affective difficile, prenons par exemple le cas d'un homme ayant un carré parfait Saturne Lune, la Lune étant en maison 7, et Saturne au Milieu du Ciel, le tout avec par exemple, une Vénus en carré de Pluton. Son mariage devrait a priori se faire tardivement - s'il se marie car ce n'est pas gagné d'avance - et le contexte de ce mariage ne devrait pas se dérouler simplement. Par ailleurs, affectivement, il se peut qu'il imagine de très belles choses et que la réalité lui offre quelques déconvenues. Même s'il n'existe pas de mauvais thèmes et de bons thèmes, il y a quand même sur le plan manifesté quelques significations qui se voient.

Imaginons que cet homme rencontre une dame avec qui la compatibilité est extraordinaire : que va-t-il se passer ?

S'il jamais il tombe amoureux, et que la réciprocité existe, il y a fort à parier que tout ne se déroulera pas comme sur des roulettes. En fait, comme la synastrie est bonne, ce que nous prenions comme hypothèse, pour que son destin se passe conformément à son thème natal, certains obstacles vont se manifester. Obstacles qui sans doute obéissent à une nécessité pour lui en terme d'évolution etc. mais c'est un autre sujet. Par contre, la relation sera elle-même sans doute agréable et facile. Le reste du contexte devra être analysé : quels sont les transits actifs en ce moment pour les deux partenaires, quel est le thème natal de la dame en question etc.

C'est une femme, très belle et très pâle, toute de noir vêtue, qui le regarde avec un air presque étonné. Tiens, c'est toi, tu es en avance, je ne t'attendais que dans quelques jours pourtant. Elle lui prend la main, et le Vizir, fou de terreur et en même temps bizarrement résigné, se laisse faire, et suit la Mort, bouleversé et sans possibilité de se révolter.

On voit qu'une relation est en fait un tout, une juxtaposition de cinq facteurs, qui sont déjà chacun isolément un tout : deux thèmes natals, deux prévisions ou climats planétaires actuels, et une synatrie ou étude de couple.

Seule, l'analyse de ces cinq facteurs permet de comprendre et de proposer une prévision de la suite, et encore, uniquement si l'étincelle magique est née entre eux. Pour l'étincelle, disons que les transits permettent de supposer que le sujet tombera ou non amoureux pendant la période.

Ces quelques lignes montrent bien je l'espère, la difficulté ou disons l'ampleur de la tâche pour donner un diagnostic.

Mon expérience, là aussi, pour ce troisième domaine - nous avions vu l'analyse de la personnalité et les prévisions - est que l'astrologie fonctionne, si l'on tient compte du natal en même temps que du climat planétaire des deux partenaires.

Quelle expérience ? C'est simple, quand on s'intéresse à cet outil, on interprète assez vite du moins en quelques années des milliers de thèmes : on a donc à chaque fois la confirmation que les choses « lourdes » ou fortes arrivent conformément aux règles utilisées, que les portraits sont assez fidèles dans la majorité des cas même si évidemment, certains thèmes dispersés sont beaucoup plus difficiles à interpréter que d'autres. Et on sait aussi qu'il faut rester humble : pour les choses plus légères, c'est-à-dire pour les aspects mineurs, les transits de seconde importance ou rapides, il ne s'agit vraiment que de probabilités, mais c'est déjà beaucoup.

Le dernier domaine, celui de la prévision mondiale, est ingrat. Je ne rentrerai pas ici dans les méthodes utilisées, je me contenterai juste de dire que mon expérience est encore une fois plutôt pessimiste. Autant l'astrologie individuelle offre des résultats satisfaisants à très satisfaisants, autant l'astrologie mondiale me paraît risquée et disons le clairement, pas encore au point.

Reste peut-être un cinquième volet, celui des prévisions de succès pour les sociétés, les projets etc. Il est basé sur le fait d'imaginer qu'une date exacte de création d'un projet peut conduire à dresser un thème natal comme on le ferait pour un être humain. On peut utiliser aussi la méthode à un animal pourquoi pas.

En croyant échapper à son sort, on peut, il est vrai, et c'est encore plus vrai pour les périodes chargées comme celles des tensions avec Uranus par exemple, tenter de se sortir de ce que l'on pense être inéluctable. Et y sauter à pieds joints encore plus vite !

Les adeptes de cette technique sont souvent optimistes. Maintenant, la réelle difficulté est celle-ci à mon sens : déterminer la date et l'heure exacte du début d'un projet, d'une société. Prenons par exemple la création d'une société, et pourquoi pas, en France, pays le plus difficile au monde pour ce sujet sans doute en raison des obstacles administratifs de toutes sortes : il y a d'abord la date, l'heure et le lieu de « l'idée ». Ensuite, il y a la détermination du nom de la société. Il peut y avoir aussi la date à laquelle l'ensemble des associés se sont mis d'accord. Ou encore, la date à laquelle on a mis le capital de la société en banque, ou encore la date du dépôt des statuts, ou encore la date, quelques jours après, pour laquelle on obtient le KBIS ! Ou encore, la date où l'on trouve les locaux qui vont servir de siège social...

En fait, si l'on réfléchit un peu, pour chaque cas, c'est un peu pareil : la date et l'heure exacte ne sont pas vraiment représentatives. Pour la naissance d'un pays, c'est pareil.

Du coup, les exemples ne sont pas simples à étudier, même s'ils ont quand même un intérêt pour l'astrologue, à titre de curiosité. Je pense qu'il faut garder la plus grande prudence pour ce domaine.

Et la jeune fille en question me direz-vous pour revenir à l'anecdote de départ ? Alors, elle était compatible avec vous ? En fait, d'après l'analyse de l'époque, non. Et effectivement, il ne s'est rien passé, à part dans ma tête, l'astrologie a donc commencé à fonctionner correctement à cette époque lointaine malgré la tristesse de sa conclusion !

Plus sérieusement, ces quelques lignes avaient un but : quelque part exprimer que le refus irrationnel de certains, parfois scientifiques parfois non, de considérer qu'il pouvait y avoir du juste dans cette discipline est véritablement l'indice d'un blocage chez eux.

Comme je l'ai dit dans ce texte, mon expérience tend à me faire penser qu'il existe deux types d'évènements extérieurs : ceux qui sont fondamentaux, très rares dans la vie, et les autres. Pour les premiers, il semble bien qu'il y ait une forme de détermination sur le plan évènementiel - car la façon de vivre dans son âme les choses est une autre affaire, qui laisse la part belle au libre arbitre, à la décision de faire en sorte d'accorder ou non de l'importance à celles-ci.

Evidemment, on en comprend bien la cause : c'est certainement quelque part le problème du pourquoi de son fonctionnement.

J'ai parlé ici de concret et d'expérience, et en aucun cas du pourquoi. En fait, en tant que scientifique moi-même, je voulais au départ surtout d'abord savoir si l'astrologie fonctionnait.

Des années de pratique m'ont répondu, mais au bout de six mois un an, j'avais déjà la réponse, positive donc, pour ceux qui viendraient ici directement.

La question du pourquoi de son fonctionnement est une autre affaire. A titre personnel, voilà quelles ont été mes impressions : d'abord, j'ai toujours considéré l'astrologie comme une petite case de la vie, un peu comme une discipline utile, mais sans aucune connotation - disons directement - spirituelle.

Efficace, utile, mais qui n'apporte en aucun cas une réponse aux vraies questions de l'existence : que sommes-nous, en quoi consistons-nous, qu'est-ce que la Réalité ? Derrière la pensée, les sentiments, les sensations, il y a la conscience d'exister, seule chose réelle, en amont. L'intellect ne peut se comprendre lui-même. Un aveugle ne peut décrire la couleur rouge. De la même façon, l'intellect ne peut que tourner en rond sur la question : qui suis-je, puisque nous ne sommes pas notre pensée et nous sommes en amont d'elle ou de celles-ci, car l'on peut parler de pensées au pluriel plutôt, qui sont comme des abeilles qui bourdonnent sans cesse, avec un acteur derrière qui à la fois subit et a l'illusion de contrôler. Bien sûr, il y a un lien entre ces pensées et notre conscience d'exister mais j'arrête là. Pour simplement indiquer que l'astrologie ne répond à aucune de ces questions, que son champ est limité au terrestre, à la psychologie humaine, à l'explication du comportement, à l'obtention avec prudence de la météo des évènements, à la détection de la facilité à entretenir une relation de couple quand elle existe.

Je dirais, et j'ai pensé cela, que c'est déjà énorme. Le fait que cela fonctionne est en soi suffisant, même si l'on aimerait comprendre le pourquoi en terme physiques ou énergétiques.

Ces questions nous entraîneraient bien loin. Mais la fable de Samarcande est un classique qui tend à montrer les limites du libre-arbitre sur le plan du vécu. Encore faudrait-il ajouter ceci : concernant la mort, même si des techniques existent pour essayer de la dater, aucun astrologue sérieux ne pourra vraiment prétendre la déterminer. Pourquoi ? Parce que l'astrologie encore une fois renseigne sur un climat, des probabilités et rien d'autre. J'ajouterais que c'est à la fois utile et important, et aussi que c'est une bonne chose. Rien ne serait pire qu'une porte fermée à l'espoir, qu'une fatalité absolue.

Seconde réflexion : nous ne connaissons que quatre forces dans l'univers : les interactions fortes (les forces de cohésion des noyaux atomiques), les interactions faibles (les forces de cohésion noyaux et particules), les forces de la gravitation et les forces électromagnétiques. Nous sommes incapables par ailleurs de définir la conscience d'être et de donner une définition de la pensée, de nous-mêmes : imaginer donner une réponse au pourquoi du fonctionnement de l'astrologie nécessiterait une meilleure connaissance de ces deux plans : le premier plan est celui de la physique, qui n'est pas si avancé que cela. Le second plan est celui de la connaissance de la nature humaine, qui ne semble pas être avancé non plus.

La première réponse est qu'en effet, il n'y a pas d'explication physique connue à ce jour.

Il y a les statistiques - controversées parfois - et l'expérience des astrologues depuis la nuit des temps - avec les différentes écoles etc. dont je n'ai pas voulu parler ici évidemment - qui sont ignorées par les détracteurs de l'astrologie, si bêtes et si mécaniquement endoctrinés par leurs propres certitudes qu'ils s'auto intoxiquent de leurs propres salades et se trompent quand ils ne sont pas de mauvaise foi.

Evidemment, si quelqu'un vous dit : vous faites de l'astrologie parce que vous êtes dans le brouillard, votre esprit est faible, vous êtes endoctriné, ou bien vous êtes machiavélique, vous faites ça pour l'argent, vous êtes un pauvre fou malsain, il n'y a rien à répondre, puisque cet aveuglement répond sans doute à un comportement très irrationnel et surtout un parti pris au départ.

Certains détracteurs de l'astrologie peuvent imaginer que les astrologues ne sont pas tous dans la brume ou le brouillard complet, pas tous malveillants, pas tous intéressés par le pouvoir ou l'argent, et même que la majorité ne passent pas leur temps pour rien, tout simplement parce que l'expérience sur le terrain leur a mis en face l'évidence : cela fonctionne, avec la prudence qu'il convient de garder comme indiqué plus haut.

Il y a aussi la question de l'astrologue qui analyse son devenir : peut-il vraiment le changer ? La réponse la plus sage est celle-ci : oui, on peut amplifier les périodes d'invulnérabilité et donc les succès etc. et on peut diminuer par la prudence l'impact de certaines périodes à risques. Pour pratiquement la plupart des évènements.

Pour ceux-là donc, il reste le problème : admettons que cela fonctionne, qu'il y a quelque chose là-dedans de vrai ; mais si ça marche, en fait, comme il n'y a pas d'explications, cela ne peut pas marcher non ?

Un esprit logique répondra : si, bien sûr, ce n'est pas parce qu'on ne sait pas encore pourquoi, que cela ne peut pas marcher, puisque l'expérience montre au contraire que cela marche.

Des traditions répondent bien des choses comme « ce qui est en haut est comme ce qui est en bas » , c'est l'explication par le symbolisme, l'être humain est en partie être manifesté et esprit, et qu'il y a correspondance entre ces deux mondes etc. mais évidemment, ce n'est pas une explication.

L'astrologie fonctionne, mais on en a pas encore l'explication en termes de forces. Mon avis est que cela viendra. C'est un sujet intéressant, mais non fondamental. L'essentiel est de ne pas dire de bêtises, d'être pragmatique. L'ouverture d'esprit me paraît être la seule attitude à avoir.

Pour les évènements majeurs qui sans doute se comptent sur les doigts des deux mains dans la vie de chacun, je pense que même l'astrologue n'échappe pas à quelques passages obligés de son destin.

On peut vivre sans astrologie, mais elle apporte beaucoup d'aide à ceux qui la pratiquent ou à ceux qui l'utilisent en consultant : c'est déjà énorme, et si l'astrologie ne se veut ni une réponse au sens de l'existence, qu'elle n'a pas non plus une fiabilité absolue, qu'on ne connaît pas l'explication de son fonctionnement, elle a néanmoins des résultats qui se voient.

Et cela justifie sa pratique et les deux seules attitudes valables à mon sens sont soit de l'utiliser, avec prudence, si cela peut aider ponctuellement ou davantage, soit de l'ignorer et de se dire « pourquoi pas, mais de toute façon, cela ne me concerne pas ».

D'ailleurs, le fait de posséder quelques atouts comme la connaissance de l'astrologie ou simplement le fait de l'utiliser en consultant fait partie des protections qui peuvent se voir sur le thème natal.
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